Le monde se métisse. Une personne sur deux à Montréal est issue de la diversité. Nombreux sont ceux qui évoquent cette question sans la définir clairement au point qu’ils pensent que la diversité, c’est souvent l’Autre, le Chinois, le Noir, l’Arabe, le Juif, etc. L’Autre semble toujours éloigné de nous, jamais proche.
Le milieu des arts et de la culture n’échappe pas à cette tendance. Très peu d’artistes dits de la diversité sont visibles dans nos théâtres, au petit écran, sur nos scènes. On les a oubliés, mis de côté, jusqu’à les ignorer. Pour réaliser une société ouverte, il faut changer la donne, inverser les pôles et aller au bout des choses.
Dans une réflexion sans langue de bois, l’auteur repense la diversité culturelle et suggère de la remplacer par la culture de la diversité.
Le milieu des arts et de la culture n’échappe pas à cette tendance. Très peu d’artistes dits de la diversité sont visibles dans nos théâtres, au petit écran, sur nos scènes. On les a oubliés, mis de côté, jusqu’à les ignorer. Pour réaliser une société ouverte, il faut changer la donne, inverser les pôles et aller au bout des choses.
Dans une réflexion sans langue de bois, l’auteur repense la diversité culturelle et suggère de la remplacer par la culture de la diversité.